Les
souffrances du cœur
Le
temps qui passe n’efface pas les souffrances du cœur ;
avec
ma belle, j’ai passé de sublimes années bonheurs.
Un
jour, elle est partie sans honte ni mensonge ;
sans
qu’un désir nous trompe, ou qu’un regret nous ronge.
La
solitude a jeté sur mon cœur ses longs voiles ;
et
depuis j’ai sombré dans la mer des étoiles.
Amour, qui est tu ? Une flamme qui me
dévore.
Dois-je
vivre après toi, dois-je souffrir encore.
Avant
d’entrer dans nos âmes, I’amour nous effleure ;
une fois pénétré et brisé viennent les pleurs.
Recueillons
dans nos âmes la promesse des astres ;
avant que notre
amour soit un désastre.
Vais-je mourir
dis-moi ? Tant je souffre ;
car mon cœur est
vide comme un gouffre.
Je laisse mon
esprit libre d’inquiétude ;
d’un amour perdu
faisant sa seule étude.
Seul
, écrivant des vers de soirs d’amour imbibés de whisky,
où
l’âme sente, exquise une solitude infinie.
Mon amour passé
m’entoure de ses ombres funèbres ;
mais ma raison de
vivre voit la lumière à travers les ténèbres.
Suis-je bien ce
poète fou ? Cet insensé sublime.
Cet homme meurtri
que les rêves fous raniment ;
avec une âme douce et mystiquement
tendre ;
J’espère, t’aimer
et de toujours t’attendre…
Sevy de
Bassirac le 25/06/2015
MAGNIFIQUE YVES GRANDIOSE
RépondreSupprimerPetit bonjour pour toi Yves et j'espère que tu vas bien*
RépondreSupprimerje reviendrai dés que possible te lire
je t'embrasse
Je t'embrasse Yves et je sors faire un tour avant que la chaleur n'arrive
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