La chance de la littérature,c'est d'être associée aux destins de la liberté dans le monde , elle reste une forme fondamentale de contestation et de critique de l'existence.
Mario Vargas Llosa

lundi 27 juillet 2015

POEMES



Mes amours éphémères


Bonjour clarté du jour, éternelle lueur ;
je rêve au doux printemps qui demeure.
Du ciel, la belle dame est de beauté première ;
mais ici tous les amours se meurent.
Que nous disent les vieilles maisons des cités ;
viens-tu prédire l’avenir.
Parmi les poussières remplies de leur vétusté ;
du jour qui ne doit pas finir.
Je chante d’une voix douce malgré ma peine.
Je ne suis plus, mais je veux vivre encore.
Je vais dans la nuit prier sous les chênes ;
toute la nuit jusqu'à l’éveil de l’aurore.
Mes années défilent taciturnes et funèbres.
Larmes, tombez comme la pluie qui rejaillit sur les rochers.
Ma vie est imprégnée sur les murs des ténèbres ;
que nul rayon du ciel n’essuie, que nul vent ne vient sécher.
Je vis avec ma peine et ma souffrance ;
dans la solitude des amours éphémères.
seul sur le chemin de la désespérance ;
ma vie n’est plus qu’un désert…

Sevy de Bassirac le 27/07/2015



 

3 commentaires:

Contrat Creative Commons
poeme de yves1947 de yves1947 est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France.